Dakar, Sénégal. C’est la fin de l’été.

Le temps d’un voyage de Dakar à Saint-Louis, les passagers d’un taxi-brousse croisent leurs destins et se racontent en chansons. 

"Ce film, cette comédie musicale m'a beaucoup plu. Je suis très content de l'avoir vu. Le chant et la danse nous font échapper aux difficultés de la vie. Les personnages du film sont civilisés, modernes, actuels comme des européens. Le Sénégal est un pays pauvre, la réalisatrice amène son côté moderne en Afrique.             Ici il y a quand même plus de liberté qu'au Sénégal".

"Les deux femmes, la dame en bleu, et Dorine sa nièce, ont réussi car elles ont une entreprise, un salon de coiffure. Elles ont dû faire des études ce qui leur donne une certaine liberté. Ça leur permet de faire des choses. Elles comprennent le monde moderne, elles sont modernes contrairement aux gens des villages qui sont souvent moins ouverts. Ces femmes sont ouvertes d'esprit, libres, elles peuvent se déplacer comme elles veulent".

"J'ai vu le film avec ma classe de CE2. Au début, il y a six passagers qui ont envie d’aller de Dakar à Saint-Louis, et comme dans le taxi il faut être sept..., ils attendent le septième passager ! Il y a deux françaises, la dame qui téléphone, la fille qui chante, le jeune homme qui va en Italie pour voir sa fiancée, et l'homme qui s'assoit à côté du chauffeur de taxi".

Le Chauffeur de Taxi.

Les deux françaises.

La dame qui téléphone.

La fille qui chante.

Le jeune homme qui va en Italie pour voir sa fiancée.

Celui qui s'assoit à côté du chauffeur de taxi.

"Finalement, comme ils en ont marre d'attendre, ils choisissent de partir sans le septième passager.

Je suis déjà allée au Sénégal en 2014, j’ai reconnu les taxis.

Ce film montre bien le Sénégal, il manque juste les chevaux avec les charrettes qui emmènent les gens où ils veulent.

Je donne à ce film la note de 10/10".

"Antoine veut partir à Saint Louis, il demande à des garçons dans la rue s’il y a un moyen de transport pour y aller. Un jeune garçon lui répond que le taxi est déjà parti. Antoine naïvement demande simplement à quelle heure est le prochain départ.                                                           Ça fait rire tout le monde, et moi aussi, quand je vois cette scène, parce que ce n’est pas aussi simple et facile à Dakar, il n'y a pas vraiment d’organisation, le fonctionnement est différent de chez nous".    

"Au Sénégal les femmes sont libres de circuler toute seules. J'ai reconnu Dakar dans le film. Je connais bien la gare routière. J'habitais là-bas au centre ville".